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Tania Pinheiro avocate spécialisée en litige de la construction, s’est entretenue avec Constructo concernant l’avènement des engins autonomes sur les chantiers de construction et leurs implications juridiques.

Les équipements autonomes, notamment la machinerie, ne sont pas légion sur les chantiers. Pas encore. Leur arrivée prochaine, toutefois, fait miroiter moultes avantages. Mais qu’en est-il et qu’en sera-t-il sur le plan légal ?

Pendant que le genre humain devient de plus en plus dépendant de l’intelligence artificielle, celle-ci s’affranchit, paradoxalement, de son géniteur. Cette nouvelle ère suscite questions et enthousiasme. Dans le secteur de la construction, on voit poindre des solutions aux problèmes de pénurie de main-d’oeuvre, de travaux devant être exécutés sur des structures fragilisées ou dans des endroits contaminés, à l’amiante ou au plomb, par exemple.

« On parle aussi d’une augmentation en efficacité, d’une diminution du risque d’erreur d’exécution. Ça entre dans le mouvement de modernisation de l’industrie de la construction. Au Québec ça reste quelque chose d’assez inhabituel ou exceptionnel », commente Tania L. Pinheiro, avocate spécialisée en droit de la construction au bureau de Montréal de Miller Thomson.

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